Val Pelouse – 1728 m – est une ascension méconnue et souvent ignorée des cyclistes car elle ne mène à rien ou plutôt menait au Stade de neige de Val Pelouse qui a cessé son activité en 1986.
Le Col Agnel (en italien Colle dell’Agnello), à 2 744 mètres d’altitude, relie la France et l’Italie. On peut dire qu’il est assez méconnu car assez enclavé et souvent détrôné par son voisin plus prestigieux au niveau touristique – le Col d’Izoard – mais il présente pourtant de beaux attraits : il est le deuxième plus haut col routier des Alpes françaises derrière le Col de l’Iseran (2 770 m) et le deuxième plus haut col routier des Alpes italiennes derrière le Col du Stelvio (2 757 m) et c’est une ascension hors normes aussi bien sur le versant français que le versant italien.
S’il est un col de légende c’est bien le Parpaillon ! Situé à la limite des Alpes-de-Haute-Provence et des Hautes-Alpes, il culmine à 2637 m sur une crête séparant la vallée de la Durance et celle de l’Ubaye. Ce col a été ouvert (1911) par les troupes du Génie Militaire comme beaucoup d’autres passages jalonnant la Grande Traversée des Alpes entre Thonon et Nice.
Le Col de Champ Laurent – 1116 m – est un col niché tout au Nord de la Chaîne de Belledonne. Associé au Col du Grand Cucheron, son ascension permet de « raccourcir » le passage entre les Vallées de l’Isère et de la Maurienne.
Le Col du Grand Cucheron – 1188 m – est un col niché tout au Nord de la Chaîne de Belledonne. Associé au Col de Champ-Laurent, son ascension permet de « raccourcir » le passage entre les Vallées de l’Isère et de la Maurienne.
La Station des Arcs 2000, de par son bétonnage massif fait partie des plus moches des Alpes. Pourquoi on se donnerait la peine d’y faire un tour ? Deux points positifs :
- c’est l’occasion de faire un « 2000 » pas trop difficile ;
- tranquillité absolue avec de beaux points de vues sur le Massif des Alpes Grées et ses glaciers.
Les Arcs 1800 fait partie d’une série de stations – Les Arcs 1600 / 1950 / 2000 – reliées entre elles qui ont été construites à partir de la fin des années 60. Réalisées avec une aide massive du béton, on ne peut pas dire que c’est ce qui a été fait de plus sympa en terme d’intégration de l’architecture avec la montagne.
À la lecture de cette introduction, vous vous demandez quel serait l’intérêt de grimper là-haut… et bien, je peux avancer quelques arguments positifs :
- l’occasion de grimper jusqu’à 1800 m tout de même ;
- de beaux points points de vues sur la Vallée de Tarentaise, un panorama 180° sur le Massif du Beaufortin, des coups d’œils sur quelques points culminants du Massif de la Vanoise comme le Sommet de Bellecôte ou le Mont Pourri ;
- un versant Ouest ludique et méconnu.
Le Col Luitel – 1262 m – est un petit monstre tapi tout au Sud de la Chaîne de Belledonne… petit par son altitude qui n’est pas excessive mais terrible par son ascension, surtout celui du versant Sud !
J’ai effectué cette semaine un reclassement de toutes les ascensions de Haute-Savoie et Savoie. Elles sont désormais classées en 4 catégories : les moins de 1000 m, les plus de 1000 m, les plus de 1500 m et les plus de 2000 m pour plus de confort dans les recherches genre « cette année je me tape tous les 2000 ! 😉 ».
Les listes et cartes (avec aussi classement selon les altitudes) sont accessibles au premier niveau de chaque département.
J’ai aussi effectué un gros balayage de tous les liens, ils sont tous clean !
Bon surf à tous !
Je suis tombé dernièrement sur le magnifique thème WordPress réalisé par Anders Norén. J’ai craqué, j’espère qu’il vous plaira !