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Col de la Colombière

Col de la Colombière – 1613 m (photo Alpes4ever).

Le Col de la Colombière – 1613 m – est un col à double tranchant : un versant Sud-Ouest (depuis le Grand-Bornand) pas trop difficile et un versant Nord-Est (depuis Scionzier) terrible dans son final.

Col-de-la-Colombiere_panneau
Massif des Bornes

Col de la Colombiere / Versant Sud-Ouest

VERSANT SUD-OUEST

Départ : le Grand-Bornand (Vallée du Borne)
Distance : 12 km
Dénivelé : 699 m
% moyen : 6%
% maxi : 8% sur 1245 m

Le versant Sud-Ouest part du Grand-Bornand et propose une ascension pas trop longue – 12 km – mais avec un pourcentage moyen de 6% qui annonce quelques petites difficultés.

Les 2 premiers tiers de l’ascension sont très irréguliers : 7% sur 400 m et un replat à 4% sur 650 m pour s’élever au-dessus du Grand-Bornand. Une nouvelle rupture de pente à 5,5/6% va vous obliger un produire un long effort sur 3,7 km. Puis la déclivité se fera plus douce à 2,5% sur 880 m jusqu’à la Place. Le passage dans la Station de Chinaillon se fera aussi tranquillement sur une pente à 4/5%.

À la sortie de Chinaillon, vous attaquerez la dernière partie de l’ascension (4,4 km), avec un magnifique panorama sur les Chaînes du Bargy et des Aravis, vous pourrez concentrer tout votre effort sur une montée progressive : 1,2 km à 6%, 1,9 km à 7% puis une rampe finale – qui voudrait ressembler à sa soeur jumelle qui se trouve sur l’autre versant – de 1,3 km à 8% pour atteindre le Col de la Colombière à 1613 m.


Col de la Colombiere / Versant Nord-Est depuis Scionzier

Départ : Scionzier (Vallée de l’Arve)
Distance : 17,3 km
Dénivelé : 1127 m
% moyen : 6,5%
% maxi : 10,5% sur 775 m

Le versant Nord-Est part de Scionzier (juste à côté de Cluses) est plus long – 17,3 km – et propose un pourcentage moyen de 6,5% qui cache un final terrible. Le point de départ (alt. 486 m) se trouve juste avant Scionzier. Vous pourrez vous échauffer tranquillement pendant 2 km sur une agréable route comprise entre 1,5 et 3,5%. À partir de Blanzy, un lacet fera bifurquer la route au sud-est et marquera le début des hostilités avec 1,1 km à 5% – joli coup d’œil sur Cluses et le Col de Châtillon-sur-Cluses – puis 2 km à 8% et enfin 1 km à 6,5%. Vous aurez tout de même un avantage : cette partie se déroule sous un couvert forestier qui vous mettra à l’abri du soleil ou du vent. La déclivité va décroître et se transformer en un généreux replat compris entre 2 et 3% durant 2,7 km jusqu’au Reposoir.

Profitez bien de ce replat et du passage dans le Reposoir (village au nom prédestiné) pour vous refaire une fraîcheur car la seconde partie de cette ascension va vous proposer un programme plus corsé : 7,3 km à 8,5% de moyenne ! 4 lacets sur une pente comprise entre 7,5 et 9% sur 3,2 km vous emmèneront rapidement au-dessus du Reposoir.

Au niveau de St-Bruno, il y a un petit truc bizarre auquel chaque cyclo s’en souviendra : la route semble descendre sur quelques mètres puis remonte sur une centaine de mètres avec un coup de cul assez traître qui vous tord les cuisses avec ses 10-11% !

Jusqu’aux Téléski de Plainejoux et ses 2 petits lacets qui font du bien, comptez sur 1,4 km à 7,5%. À la sortie des 2 petits lacets, vous apercevrez le Col de la Colombière et sa fameuse cabane. Vous vous dites que l’affaire est pliée mais le trompe-l’œil vous cachera la terrible vérité ! En effet, la route s’étire longuement durant 2,7 km le long des flancs de la chaîne du Bargy où le soleil plein sud vient transformer le coin en une véritable fournaise. Essayez de profiter du magnifique panorama sur la chaîne des Aravis pour affronter un final terrible : 1,9 km à 9,5% puis enfin les 800 derniers mètres à 10,5% pour atteindre le Col de la Colombière à 1613 m.


Col de la Colombiere / Versant Nord-Est depuis Marnaz

Départ : Marnaz (Vallée de l’Arve)
Distance : 15,1 km
Dénivelé : 1112 m
% moyen : 7,5%
% maxi : 12,5% sur 240 m

Ce profil est une variante de celle présentée ci-dessus. Les différences sont qu’elle présente un point de départ situé à Marnaz qui est très… abrupte avec ses 750 premiers mètres à plus de 10% de moyenne (la surchauffe est immédiate !) et l’ascension est un peu plus courte, augmentant nettement son pourcentage moyen à 7,5% !

Personne ne s’est mis d’accord pour l’altitude du Col de la Colombière : 1607 m pour IGN, 1618 m pour le panneau du col et 1613 m pour le Club des Cents Cols ! Je retiendrais cette dernière pour faire la moyenne !

Pour ma part, j’ai grimpé ce col en août 2009 par le versant Scionzier. J’ai beaucoup apprécié cette ascension malgré un final terrible mais le paysage est sublime avec la chaîne des Aravis en toile de fond. > Mon récit sur bosses21.com

J’ai effectué une nouvelle ascension en 2019 à partir du Reposoir (après être passé par le Col de Romme, vous pouvez consulter le récit détaillé accompagné de plusieurs photos sur le site bosses21.com

J’ai grimpé le versant du Grand-Bornand en 2020 et 2021.

J’ai grimpé le versant depuis Marnaz à l’occasion de ma Route des Grandes Alpes en 2022.

  1. Nicolas

    Juste un col magnifique, les deux premiers tiers de ce col sont parfait pour preparer le dernier tier qui lui est vraiment terrible, ce fameux trompe l’oeil qui nous fait deviner la fin de l’ascension avec le chalet en pointe de mir, fait durer le plaisir sur un grain de route qui rend bien jusqu’au bout, ben évidemment je l’ai passé tout à gauche pour ma seconde sortie en 4 jours en Haute Savoie, pour les amateurs de cyclisme il faut absolument le faire!
    PS: Entrainez vous bien avant, et prenez double ration de nutrition si vous le faite un jour ou il fait chaud!

    • Salut Nicolas !
      Oui, je suis d’accord avec toi, c’est un col magnifique et effectivement sur le versant Est, la partie finale fait un beau trompe-l’oeil avec le refuge qui semble proche… Le côté droit de la route laisse apparaître beaucoup de roches qui renvoient la chaleur. Je l’ai grimpé en matinée par beau temps et ça chauffait déjà !

  2. Alain C 64 ans licencié aux cyclos serrois 84200 CARPENTRAS

    Meme impression que Nicolas, je l’ai grimpé mercredi 23 07 2014. Heureusement qu’il y a le replat du Reposoir car les derniers kms m’ ont paru assez difficiles. Surtout le dernier. Mais quel paysage,à conseiller aus passionnés de cols

    • Bonjour Alain !
      Le Col de la Colombière, est un très beau col. Même s’il n’est pas très haut, il offre autant de difficulté que d’autres cols plus prestigieux.

    • Je l’ai fait depuis Cluses il y a une semaine.
      Après direction Scionzier.
      Début dans la forêt se couvrir à cette époque.
      La traversée du Reposoir permet de souffler. Après c’est là que les difficultés commencent, mais tellement beau.
      On n’arrive pas au col les mains dans les poches !!
      Mais en effet que le col est dur à atteindre surtout le dernier kilomètre.
      Pire que les derniers lacets du Ventoux.
      J’habitais Cluses avant, désormais Villeneuve.
      J’espère le refaire jusqu’à 80 ans (né en 47).

      • Oui, un col qui fait beaucoup parler de lui avec son fameux final du côté du Reposoir ! Pour les 80 ans… voilà l’occasion d’entretenir la forme 😉 !

  3. Frédéric

    Bonjour,

    Le col de la Colombière, je commence à bien le connaître. Je l’ai fait des dizaines de fois, surtout côté Grand-Bornand, passant mes vacances par là, donc pas de mérite.
    Côté Cluses, tout est dit, et ce que je trouve de terrible dans le dernier km, c’est quand on est en plein soleil contre la paroi rocheuse exposée plein sud !
    Côté Chinaillon, je le fais même avec mes enfants (à leur rythme et un par un), à partir de 10-11 ans.
    Je l’ai même monté à env. 27 km/h (Chinaillon – Col) avec un vélo électrique prêté par l’OT du Grand-Bornand lors des journées Xgones. Ça reste dur !

    • Bonjour Frédéric, merci pour ton message.
      Le Col de la Colombière à 27 km/h avec un vélo électrique… et ça reste dur ?! 🙂

      • Frédéric

        Oui, car la réglementation limite la vitesse à 25 km/h je crois et donc pour les dépasser, il faut «tirer» le moteur. Mais une fois comme ça, c’est quand même grand, car je crois que c’est à peu près la vitesse des coureurs du tour de France (oui je sais ce que tu penses, comme moi d’ailleurs !) et à cette vitesse là, ça défile ! Et encore je n’ai fait que les 5 derniers km et non toute une étape avant… C’était avec un Scott si j’ai bon souvenir.

        • Frédéric

          Une petite erreur de frappe :
          Dans le dernier paragraphe du récit de l’ascension côté Scionzier, il faut lire chaîne du Bargy et non Barguy.

  4. Fabien

    J ai réalisé pour la première fois l’ascension du col ce matin de bonne heure depuis le Grand Bo. C est magnifique. Je roule pas l’année, je fais que tres occasionnellement du vtt. je souhaitais me fixer un « petit » défi. Modestement, atteinte du col en 1h16…bien loin des meilleurs performeurs. Mais mon objectif est atteint, gravir un col célèbre et profiter d un paysage somptueux . Je recommencerais sans hésiter lors de mes prochaines vacances ici. Avec l’objectif de faire mieux du coup ☺

    • Hello Fabien, content que tu t’es éclaté sur le Col de la Colombière, c’est vrai qu’il est magnifique. Pour ton prochain objectif, pourquoi ne pas monter plutôt l’autre versant, tu verras que les sensations sont complètement différentes !

  5. Cyril Fourrier

    Super site, bravo.
    Je viens de me mettre au vélo à 30 ans…mieux vaut tard que jamais ! La colombiere depuis scionzier à était un vrai régal jusqu’aux derniers 3 km… 9,10,11%… Pour mon petit niveau ce col et les 100 km aller-retour depuis annemasse en solo mon bien scié les jambes (la descente vers le grand bornand est superbe) En effet je pars un peu seul à l’aventure, au courage; alors votre site donne de très bonnes informations et conseils. Après le col de cou, le saleve et donc la colombiere, prochain objectif le col de joux plane depuis annemasse (a /r) mais apparemment ce sera joux verte pour rejoindre avoriaz car il est fermé. Merci pour linfo !
    Salutations.

    • Salut Cyril ! J’ai commencé sérieusement le vélo à 30 ans… avec l’expérience, les cols durs, avec un peu d’entraînement, seront montés plus sereinement ! En tout cas, bravo, pour un début, voilà une belle brochette de cols ! Pour Joux Plane, le col n’est pas complètement fermé pour les cyclistes, on peut y passer, l’info était valable début août…

  6. Salut Joris,
    Toujours aussi magnifiques tes profils 🙂
    Je continue de les utiliser sur mon blog… on fait simplement pas mieux sur le web !
    Et puis tes explications et récits sont top aussi, la preuve avec ce col de la Colombière que je ne connaissais absolument pas… et que j’ai grimpé en cette fin aout sur un long raid solo… tes mots ont résonné dans ma tête lorsque j’ai vu la cabane du sommet à 4km de la fin… en me disant sans arrêt « c’est encore loin, c’est encore loin.. puisque Joris l’a dit », ce qui m’a permis jusement de mieux doser l’effort.
    Merci !

    • Hello Baptiste, oui aucun soucis, tu peux en abuser de mes profils, c’est avec plaisir ! 😉
      Bravo pour cette Colombière (j’ai hâte de lire ton CR), je trouve qu’avec le Granon, c’est un des finals les plus durs au niveau mental que physique ! Mais moi… je le savais pas ! 🙂 Il y a 6 ans, on n’avait pas autant d’infos qu’aujourd’hui !
      PS : lol pour ma « parole d’évangile » !

  7. Kay Christian

    Hello,
    Dimanche 20 septembre, j’ai gravi la Colombière depuis Scionzier, à la fraîche de la fin d’après-midi. Vraiment très chouette ascension, au calme et de jolis panoramas sur le Reposoir et la Chartreuse en contrebas . Cette ascension est très progressive, on a le temps de se mettre en jambes pour affronter les 3 km finaux plus raides. C’est vrai que le dernier km à 11% est costaud!
    Ensuite la descente vers le Grand-Bo puis St-Pierre est un pur régal : 25 km de revêtement nickel, beaux lacets à enrouler avec une bonne visibilité pour anticiper, on peut lâcher les freins et affiner ses trajectoires…
    Que du bonheur cette grimpette à la Colombière.

    • Ce final du Col de la Colombière malgré ses 11% fait partie des « graals » du cyclo ! Sympa ce doublé Colombière/Ramaz sur les 20-21 septembre !

      • Kay Christian

        Hello,
        Nouveau doublé ce samedi 30 juillet dans la matinée: montée au Mont-Saxonnex depuis Thuet (où j’habite), 550m de D+ à 9-10% tout le long, puis descente sur Scionzier et ascension du col de la Colombière, 1000m de D+ à 8%. Cette fois-ci, j’ai trouvé le final de la Colombière vraiment terrible, avec un vent de face en rafales! J’ai trouvé mon 39×23 un peu juste sur le dernier km et ses 11%!
        Après à la descente, je me suis régalé une nouvelle fois: j’adore cette route sur laquelle on peut vraiment piloter sa « bécane ».

        Ce Tour du Bargy était mon 2e défi vélo post-fracture du col de Fémur, dernier « col » que je me suis fait fin 2015! 1,5m de D-, à 25 km/h sur du plat = 3 belles vis dans le fémur et 6 mois de rééducation. J’ai plutôt bien récupéré.

        • Chapeau Christian ! Une belle victoire et un décor magnifique pour oublier cette grosse blessure ! Oui, le 39×23, c’est hard quand les passages se cabrent !

          • Kay

            Merci…
            Joux Plane + Joux Verte bientôt mais avec une cassette 11-25!
            Arvi’pa
            Kay

  8. Philippe

    Super ce col, je l’ai gravi aujourd’hui en passant par Marnaz plutôt que Sconzier car je venais de ce coté là et ca grimpe dés le debut. Apres on rejoint vite la même route. A partir du Reposoir une bonne partie de la route a été refaite et c’est agréable malgré la pente sévère. Le paysage est magnifique.

    • Oui, il est super ce col ! Si une bonne partie de la route a été refaite après le Reposoir, il y en avait bien besoin, j’ai le souvenir d’une chaussée qui avait tendance à s’effondrer par endroits. Même si je n’aime pas le « cirque » du TDF, il apporte une certaine logistique pour la réfection de certains cols ! Le versant Scionzier sera descendu en 2016.

    • alex hardouin

      Ce départ par Marnaz est raide effectivement, on démarre direct par 800m à 11% avant de rejoindre la route classique, donc en tout ça fait 15km de montée à 7% de moyenne malgré le plat du Reposoir, dur dur. Il se murmure que l’EDT 2018 serait Annecy – le Grand Bo par Croix Fry, Aravis, Romme et Colombière. L’enchaînement final après 100 bornes dans les pattes ferait très mal surtout s’il fait très chaud! Réponse le 17 Oct :).

      • Salut Alex, ah oui, tu t’es pris Marnaz direct ! Le Col de la Colombière malgré son altitude « modeste » en aura fait « chier » plus d’un ! Son terrible final en fait un des plus durs des Alpes françaises : près de 7 km sur une pente comprise entre 8 et 11% avec seulement 4 petits lacets, un vrai supplice !

  9. J-C

    Bonsoir ! Merci à tous pour vos commentaires très utiles à ma petite carrière de cyclotouriste. Je roule pas mal en ce moment étant dans la région (vacances). Le reste du temps c’est compliqué car je suis tout le temps en déplacement. Les périodes ou je roule sont donc souvent coupées. Du coup ce mois de juillet j’ai gravi les Aravis,la Croix Fry, le Salève et plein d’autres. Mais jeudi c’est prévu je me lance je tente ce col mythique. J’ai hâte ! J’ai fait du repérage aujourd’hui et effectivement la route est très propre et tant mieux. Habitant à Bonneville je prendrai donc la portion par le Grand Bornand, j’aurai le temps de m’échauffer correctement. Je vous donnerai mes sensations à l’issue.

    • Hello J-C, joli rattrapage avec Aravis, Croix Fry, Salève et Colombière ! 😉

      • J-C

        Joli rattrapage mais alors c’est quand même une telle récompense quand on arrive tout en haut. Ça a été très dur sur la Colombiere mais ma fois j’y suis arrivé. Le dernier km est très costaud mais j’avais tellement envie de voir le panneau mythique que rien ne pouvait m’arrêter ! Notre région me manque je suis reparti en déplacement sans pouvoir rouler pendant tout le mois d’août c’est dur ! Je dois trouver un moyen de ne pas perdre les acquis de ce début d’été, et ce sans pouvoir rouler… Allez de bonnes sorties à vous tous 😉 profitez pour moi !

  10. Philippe

    Un beau morceau!
    Fait en juillet 2014 via Romme en préparation de la 9 de Coeur JPP (la première cyclosportive de ma vie).
    J’avais envie d’ajouter ce juge de paix du Tour après être monté à Romme depuis Scionzier et les fameux 4 derniers km en prise avec vue continue sur le sommet. Un beau défi pour le mental, pas trop mal passé à l’époque, malgré la courte nuit qui a précédé…
    Dommage, l’état de la route entre Romme et le Reposoir. J’espère qu’elle a été refaite, parce que ça devenait limite dangereux niveau sécurité routière.

    • À mon avis, vu le prochain passage du TDF cette année, sûrement que quelques réparations seront faites ! En tout cas, ce final de la Colombière en aura fait bavé plus d’un 😉 !

  11. ESTEVE Guy

    Enchainé ce dimanche 24 juin avec les Glières par l’Essert et les Fleuries, en reconnaissance de notre cyclo « Reblochon de dimanche prochain.
    115 km et 2700 m de D+. J’ai pas mal coincé sur les 5 derniers km mais la descente sur le chinaillon a été un vrai bonheur avec un revêtement tout neuf: 73 km/h en pointe.

    • Bonjour Guy,
      Votre cyclo « Reblochon » sur les parcours longs offrent une belle préparation pour l’Étape du Tour qui se déroule seulement 1 semaine plus tard !

      • ESTEVE Guy

        Rebonjour
        La cyclo « Reblochon » propose le parcours de l’étape du tour, mais au départ et à l’arrivée de Thônes, pour beaucoup moins cher et sans esprit de compétition.
        3 parcours : le « Reblochon fermier » avec Croix Fry, Glières, Romme et Colombière, « Reblochon  » idem mais sans la Croix Fry ni Romme, et « Reblochonnet » avec seulement La montée à Saint Jean de Sixt et les Glières.
        Plus d’info sur le site ses Cyclos de la vallée de Thônes: https://cyclos-des-aravis.com/

  12. Julien 74

    Bonjour je viens de réaliser l’ascension du col de la colombière depuis marnaz, belle ascension et beau panorama. Toutefois ce col reste moins compliqué que le col de joux plane, même si les 7 derniers kilomètres sont relevé surtout les 3 derniers avec effectivement le refuge en point de mire.

    • Bonjour Julien, ah c’est marrant, c’est vraiment selon chacun, pour moi j’ai trouvé Joux-Plane plus « facile » que Colombière ! Son final est beaucoup plus facile.

  13. Antonin

    Bonjour bonjour !
    Quelle horreur et quelle joie à la fois cette Colombière ! Je l’ai montée au moins trois fois de chaque côté (la dernière en date à l’EDT 2018), le côté Chinaillon est tellement paisible, celui du Reposoir est grandiose : on a le temps de voir le Bargy et les Aravis avec ce crescendo des quatre derniers kilomètres. Je crois même qu’il faille un piolet pour arriver sereinement à la cabane du col qu’on voit quatre bornes plus bas..!
    En revanche, côté Grand-Bo, il me semble que tu as fait une erreur d’itinéraire, la route du col est celle qui porte le nom du Chinaillon, et il me semble que tu passes par les petites rues du village ! Ton travail sur tous ces cols n’en demeure pas moins génial !

    • Bonjour Antonin,
      Oui, ce Col de la Colombière, malgré son altitude modeste, laisse toujours de bons ou de « mauvais » souvenirs 😉 !
      Pour le versant Grand-Bo, c’est effectivement une petite erreur dans mon tracé google map (c’est corrigé) et le profil était bien réalisé en passant par la D4.
      Merci pour ton attention passionnée.

  14. Roussel

    Je viens de le faire compliqué les 3 derniers 9% 10% 11% mai je suis arrivé au col eureux

    • Oui, ce Col de la Colombière côté Scionzier est superbe, fait aussi le 31 mai dernier en fin d’après-midi (avec montée via le Col de Romme), presque personne, ambiance paisible, du bonheur !

  15. Nicolas

    Bonjour Joris,
    Col réalisé Dimanche dernier en passant par Marnaz directement (qui mériterait son propre profil tant ça change l’ascension avec ce premier kilomètre à 10% à la place des 2.5 premiers kms plutôt doux par Scionzier)
    Nous sommes arrivés au reposoir vers 10h40, sur le compteur il faisait 22°, la température n’a cessé de monter jusqu’à atteindre 33° pour les deux derniers kilomètres. J’avais beau m’hydrater, ça ne compensait pas la sudation intense liée à l’effort de cette dernière rampe, j’ai fini à 6km.h me demandant plusieurs fois si je n’allais pas poser pied à terre…
    J’avais pourtant fait 1700 kms et 30 000m de D+ lors des deux derniers mois, j’ai juste sous estimé ce col.
    Le vélo apprend l’humilité 🙂

    • Bonjour Nicolas, d’abord bravo pour ce Col de la Colombière, un col pas facile du tout ! Ses 3 derniers kilomètres sont intenses et effectivement plein soleil et sans ombre durant une bonne partie de la journée ! Il y a 2 ans, je l’avais grimpé en soirée et j’étais à l’ombre, ça s’est très bien passé 😉
      1700 kms et 30 000 de D+ en 2 mois, c’est assez gros comme entraînement ! Peut-être un peu trop intense… pour ma part, avant un séjour alpin, je réduis le vélo afin d’avoir une certaine fraîcheur physique, jusque là, ça m’a toujours bien profité.

  16. Gazdonf

    Tout d’abord bravo pour ce site…
    M’étant remis au vélo de route en Juillet 19 et ayant fait du VTT pendant pas loin de 20 ans, j’apprécie le D+…
    Ayant un point de chute à Cluses, je suis servi.
    Ma première sortie était le Mont Saxonnex, aller et retour.
    Quelques jours plus tard j’enchaînais avec le Colombière, en ayant tellement entendu parler avec le TDF….
    Cette année je l’ai fait côté Grand Bo, en ayant fait le Tour du Bargy ( Mont Sax, Brizon, Route du Sommet d’Andey.. – à faire ) puis rebelotte le 15 Août après avoir fait le Montée de Solaison.
    Les 2 derniers kms sont vraiment durs pour le mental, on voit le bout sans jamais l’atteindre….
    Mais quelles vues s’offrent encore à nous, une telle beauté nous fait oublier la souffrance de la montée…

  17. Gazdonf

    Rebelote cette année, passage obligé et premier gros col sur la RGA.
    Facile tout le long cette fois selon les stats Strava et pourtant la seule limite a été la forte chaleur puisque j’ai du commencer l’ascension vers les 14h00, donc au plus chaud de la journée .
    Arrêt en haut du Col pour aller prendre un bon petit KF avec une tarte à la myrtille au restaurant la Colombière.
    Globalement jusqu’au Reposoir c’est tranquille, c’est après que cela devient corsé avec une route étroite, un bitume qui rend bien, et les fameux 3 derniers kil ou tu vois le Col au loin mais il en reste

  18. Didier Zanardo

    Si vous voulez corsé la difficulté par le versant du grand bormand prendre la route qui descend à droite avant le chinaillon la il y aura 2 raidillon assez long dans la station puis prendre le pont sur la gauche qui revient à la sortie du chimaillon

  19. DUPONT Philippe

    Bonjour, merci pour ce site complet et très instructif. Je suis monté par Cluses et les 300 premiers mètres du col sont très raides avec un pourcentage probablement supérieur à 12%. Je ne vois pas ce ce dénivelé repris sur le profil décrit. Aurais-je loupé le démarrage du col plus facile?
    Bien à vous

  20. Benoit

    Je l’aime tellement ce col que je l’ai fait 3 fois cette année 😉
    2 versions classiques, et 1 via le Col de Romme.
    A chaque fois je me régale et apprécie fortement la partie après le Reposoir…
    Cet enchaînement de lacets est juste dingue, et ces 3 derniers kms…. Miaaaammm
    Vivement la prochaine !!!!!

  21. Eloi

    Bonjour,
    Je viens de gravir ce col de la Colombière en passant par le col de Romme.
    Le col de Romme malgré son replat ne vous laisse aucun répit et vous use tout du long de cette ascension terrible.
    Mais si vous enchaînez avec le final terrible de la Colombière vous regretterez de vous y être attaqué. Le soleil déjà bien présent est venu corser ces derniers kilomètres avec cette vue sur le chalet. En arrivant dans la douleur en haut de ce col, j’ai pu profiter d’une agréable pause malgré un parking bondé. Malheureusement pour moi, je devais enchainer avec le col des Aravis depuis Saint-Jean de Sixt que j’ai trouvé très roulant malgré des jambes sciées par cette double ascension (et les 50 bornes qui précédaient pour rallier Cluses depuis le col des Saisies).
    Sportivement

  22. Guignard denis

    Bonsoir

    Quel plaisir d’avoir gravi ce col. C’était un rêve que j’ai bien cru ne jamais réaliser. Sportif en course à pied depuis longtemps, j’ai fait un arrêt cardiaque. Rien à voir avec le sport, plutôt le travail. J’ai pris ma retraite en Haute-Savoie, bien décidé à exploiter ce terrain de jeux. Je viens de me mettre au vélo avec l’aval de mon cardiologue. J’avais un faible pour ce col que j’ai redécouvert humblement à la force des mollets. Admirable. Très dur sur la fin, mais fier de l’avoir fait. Parti de Marnaz avec une 1ère rampe de 1 km jusqu’à Blangy. Ensuite col qui grimpe crescendo. Comblé par ce site prestigieux avec la Pointe Percée en décor. Je recommande.

    • Bonjour Denis, content que tu aies pris du plaisir à reprendre le vélo. C’est vrai que ce Col de la Colombière se mérite mais la récompense est belle au sommet ! Pour avoir découvert le départ depuis Marnaz lors de ma Route des Grandes Alpes en 2022, je confirme que la rampe est sévère pour débuter !

  23. Okapi

    Je le fais chaque année et pour ça je me prépare avec quelques montées du saleve par monnetier. Un bon conseil, profitez bien du reposoir. C est ce que je fais car il faut tenir les derniers km. J ai vu des gars sur le bord de la route dans les derniers km car au reposoir ils foncaient… bonne ascension à tous.

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