Le Col de Bacchus – 980 m – est situé au Sud du Massif du Vercors. Son altitude modeste propose tout de même un dénivelé compris entre 700 et 800 m pour les ascensions de ses versants Nord et Sud mais les pentes ne présenteront pas de passages excessifs – pas plus de 6,5% – et seront souvent très régulières.
Auteur/autrice : alpes4ever Page 20 of 50
Le Col des Limouches – 1086 m – est situé dans le Sud-Ouest du Massif du Vercors. Je vous propose 5 variantes et comme la plupart des cols du Sud du Vercors – Rousset, Bataille, Menée – son ascension – malgré son altitude modeste – propose une grande variété au niveau des difficultés qu’il ne faudra pas sous-estimer…
La Montagne – Les Gendres – 1581 m – est une ascension qui se débute au bord du Lac de Serre-Ponçon. Pas très longues – un peu moins de 11 km, ses 2 variantes proposent tout de même de belles difficultés réparties sur un joli pourcentage moyen de 7%.
Le Col de Saint-Mens – 929 m – est situé sur la Colline de Saint-Mens près de Gap. L’ascension, courte avec 4,2 km, se fera en 2 temps assez soutenus : le premier jusqu’au col intermédiaire du Collet (805 m) puis le second à partir du hameau de Lareton jusqu’au Col de Saint-Mens en se faufilant par le Chemin des Vignes qui offrira un final très intense avec 1400 m sur une pente moyenne comprise entre 9 et 10,5%. Au sommet, un panneau original indiquant que vous êtes sur l’un des tracé de la Route de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Le Col de Grimone – 1318 m – est un col méconnu. Isolé dans le Massif du Diois, à la limite du Massif du Vercors, il offre des points de départ assez éloignés des grandes vallées. Pourtant, le cycliste curieux y gagnera beaucoup en y allant jeter un coup d’œil : un col sauvage loin des grands axes de circulation et présentant des difficultés très abordables.
Le Col d’Èze, situé entre Nice et Monaco, près de la Turbie dans le département des Alpes-Maritimes, culmine à 507 m. Situé à moins de 5 km de la côte, il offre un remarquable panorama sur la Côte d’Azur : le cap Ferrat à l’ouest, et l’Italie à l’est. Il fait partie de l’itinéraire de la Route des Grandes Alpes. Malgré son altitude modeste, il faut retenir que les ascensions partent toutes au niveau de la mer et que le dénivelé est du coup assez conséquent avec près de 500 m. Les possibilités pour accéder au Col d’Èze sont très nombreuses… je vous propose 15 variantes au départ de Menton, Nice, Monaco, Beaulieu-sur-Mer et la Trinité.
S’il est un col de légende c’est bien le Parpaillon ! Situé à la limite des Alpes-de-Haute-Provence et des Hautes-Alpes, il culmine à 2637 m sur une crête séparant la vallée de la Durance et celle de l’Ubaye.
J’ai réalisé cette ascension le 17 août 2019 depuis Embrun. Elle a été hors norme avec 58,6 km en aller-retour et… 2000 m de D+ ! Vous pourrez lire mon récit détaillé en photos et espère vous faire partager pleinement mon retour d’expérience.
La Station de Samoëns 1600 est l’une des plus difficiles ascensions de Haute-Savoie. Faisant face à son prestigieux voisin, le Col de Joux Plane, elle tente d’afficher des chiffres aussi cauchemardesques et y réussit de fort belle manière pour son unique versant à faire en aller-retour : 10,5 km pour 920 m de D+ à …9% de moyenne !
Affinage du profil de la voie traditionnelle et ajout d’une nouvelle variante via Le Châtelard pour cette ascension hors norme.